Ordres scolaires et cloisonnement des écoles publiques et des lycées appartenant à l’Etat du Cameroun ( 1960 – 2025 )
Dans le contexte emblématique infra-scolaire, il peut sembler surprenant de traiter une longue période dans un même ensemble de problématiques. Cependant, ce découpage nous est dicté par les inégalités retenues, qui entendent souligner le rôle évolue à l’école par l’Etat républicain et par la reproduction des référentiels de l’action publique qui vont conduire à la construction ; bâtiments scolaires dans toutes l’étendue du territoire. Comme nous l’indiquons plus haut, c’est d’abord sous le registre de la normalisation que les choses se nouent.
Les questions ouvertes par des autorités publiques doivent déboucher sur la promulgation de la loi 1989 qui demande l’instauration des normes éducatives en milieu scolaire rendant plus précise l’évolution et son contexte l’école obligatoire ». Les premières questions seront détectées au sein de la population scolaire afin de leur apporter des classes de perfectionnement, et des enseignements à même de favoriser leur utilisation sociale. Pour les seconds leurs normalités doivent être visibles pour s’inscrire dans les non stigmates scolaires éducables qui confinent à l’acquisition des habitudes de vie éducative.
Au plan classificatoire, le critère de la normalité est établi en référence à une échelle des acquisitions scolaires étalonnée selon l’âge de l’élève, censées rendre compte de l’intelligence de l’enfant. De nombreux travaux doivent être mis en relief dans le processus de l’école inclusive avec des verdicts scolaires reliant les catégories sociales et celles des apprentis à l’apprentissage comme ordre scolaire autonome répondant aux impératifs à la socialisation et des couches populaires.
Il s’agit d’instruire pour éduquer et intégrer les enfants du peuple au fonctionnement démocratique afin de là soustraire à des attractions, à des internationales pour en faire des citoyens éclairés. Au-delà des jeux de sacralisation, désacralisations de l’éducation universelle, l’Etat doit prendre à son compte des argumentaires décisifs permettant d’examiner une acuité analytique remarquable en théorie éducationnelle. Le concept d’équité ségrégative a pour point de vu fondateur école publiques et lycées gratuits.
Les écoles publiques et des lycées appartenant à l’Etat régit l’équité de chaque enfant sur le principe supérieur de la justice sociale, l’équité implique nécessairement l’égalité, la gratuité sans moindre abstinence charnelle des coûts exorbitants qui pénalisent les élèves démunis. Chaque enfant dispose d’un l’égal part reçu par le gouvernement qui doit agir en sa faveur avec une école de qualité, leur proposer la notion de ‘‘ÉQUITÉ ÉGALITAIRE « pour désigner les discours fondateurs sur l’égalité des enfants devant des instructions et celle d’équité ségrégative qui sont argumentées en faveur des formes éducatives diversifiées selon l’origine sociale des ‘enfants.
En effet, une meilleure justice est à construire dans l’avenir, progressive de l’humanité pour le présent, l’école se doit de scolariser tous les enfants du peuple à l’intérieur des limites de la vision des nouveaux bâtiments scolaires, équipements de tables et bancs, approvisionnement des fontaines d’eau, installations des toilettes publiques. Cette initiative est une garantie fondamentale consacrée aux enfants, un capital producteur une forme de la nécessité économique et sociale surmontable, promue comme principe supérieur des ressources matérielles financières.
La fondatrice et ses équipes mettent un champ d’investigation sur les distinctions qui relèvent l’heuristique de la défense, de l’équité ségrégative égalitaire à travers les revendications de l’enseignement unique. La dernière apologie du détour ségrégative doit être développée sur la plume et écarter des bénéfices aux bénéficiaires. L’évolution scolaire des élèves est une sociologie éducative sans mettre en place les marchés illégaux qui détruisent la vie éducative des enfants vulnérables orphelins et ceux vivant dans des zones retirées.
Par la franco-camerounaise Akamba Adrienne Bancelin, fondatrice