Biens mal acquis : AICI n’a rien à se reprocher ou interrogations sur un acharnement
► Afrikipresse apprend que l’agence AICI n’a rien à se reprocher relativement à une enquête judiciaire en cours en France sur la question d’acquisition de biens immobiliers par la famille de l’ex Président Omar Bongo du Gabon.
En effet, tout s’est passé dans les normes malgré des informations diffusées à travers un média actionné par des sources qui croient ainsi nuire à la réputation de la Première dame de Côte d’Ivoire, ou même monnayer des choses. Pourtant dans d’autres affaires de biens mal acquis, les agences immobilières ne sont pas aussi citées ni indexées avec insistance comme le sont Dominique Ouattara et AICI victimes clairement d’acharnement.
Cette façon de faire a peu de chance de prospérer, auprès de la fondatrice de l’agence, puisqu’en réalité AICI a fait son travail d’agent immobilier correctement, dans le respect des procédures et pratiques en vigueur, et conformément aux lois existantes au moment des faits.
La loi ne prévoit pas que l’agence immobilière investigue au sujet de l’origine des fonds.
Ainsi les transactions ont été déclarées auprès des impôts et les charges fiscales ont été honorées.
Mieux selon des agences immobilières interrogées, la loi ne prévoit pas que l’agence immobilière investigue au sujet de l’origine des fonds. Cela est plutôt le fait du notaire qui émet une attestation sur la question, le seul travail de l’agent immobilier étant de trouver le bien et de mettre en contact, vendeur et acquéreur.
Il y’a également lieu de s’interroger pour savoir pourquoi la fondatrice de l’agence Dominique Ouattara est citée avec insistance alors qu’elle même était aux USA à l’époque des faits cités.
Un acharnement gratuit
L’on peut tenter de comprendre l’axe éditorial consistant à privilégier le nom d’une personnalité sans laquelle les articles n’auraient aucun succès, cependant il en faut plus pour entacher le crédit de l’épouse du chef de l’État ivoirien, qui est une dame très intègre et très respectable, une dame qui n’est pas abonnée aux scandales.
Afrikipresse constate par ailleurs que c’est la deuxième fois que le même auteur écrit sur le même sujet. D’abord dans les colonnes du Monde et cette fois dans Africa intelligence. Pourquoi cet acharnement ?