Coupe du Monde Qatar 2022 : Encore une autre histoire pour « déstabiliser » l’équipe du Cameroun
►Selon le journaliste algérien Fadil Charaf, l’équipe nationale du Cameroun, prépare la Coupe du Monde sans soutien financier de la Fédération internationale de football (FIFA).
Afrique54.net – Le journal algérien affirme que, toutes les équipes qui participent à cette compétition au Qatar en 2022, ont déjà reçu leur enveloppe des caisses de la FIFA. Cependant, le Cameroun attend toujours ce financement qui semble selon lui ne pas encore accordé parla fédération internationale. Une déclaration qui selon les Camerounais est un moyen pour déstabiliser l’équipe ou encore ouvrir le débat autour du conclave entre l’Algérie-la Fifa-Cameroun.
C’est en effet, une déclaration qui provient du compte Facebook du journaliste, qui pour certains à toujours aimé les informations à scandale. Pour l’homme de média, comment comprendre que même l’Australie et la Costa Rica, qui se sont qualifiées récemment ont eu leur financement ? Or, les lions indomptables du Cameroun n’ont encore rien perçu. Il s’agit pour lui d’un désaccord autour de l’affaire entre l’équipe d’Algérie et celle camerounaise.
Réactions des Camerounais
Au-travers des réseaux sociaux, les fans de l’équipe du Cameroun, n’ont pas tardé à réagir par des commentaires. « Il s’agit d’une cabale contre la forte équipe du Cameroun qui vient en force », « il a été sûrement pays pour ce sabotage. Même s’ils ne sont pas encore financés pour cette préparation, ils le seront. C’est juste une organisation interne », pour la plupart d’entre eux sur Tweeter, « pas besoin de s’accrocher sur les commentaires des Algériens qui ont pour but de toujours vouloir avoir une place à cette compétition footballistique », précise Roger M.B.
Une stratégie de déstabilisation
Ce qui est étrange, le journaliste mentionne un dur dossier établit par le coach algérien, Djamel Belmadi qui arrive en force. Selon le journaliste, « le dossier est lourd, très lourd… Je dis dossier lourd donc je n’en rajoute pas plus. J’ai vu le rapport de dix pages, très très détaillé, très très technique. Monsieur Collina nous envoie quelques lignes en nous disant tout simplement que l’erreur est humaine… Pour ça, on n’a pas besoin de lui », a-t-il déclaré.
Cependant, Inès Bibiang, précise que, « seuls les tonneaux vides font des bruits, car s’il y a un tel document, qu’il le brandisse, que de toujours bavarder dans les réseaux ».
© Afrique54.net|JGM, Yaoundé
Afrique l Contactez-nous l Faire un don l Ligne éditoriale l Monde l Politique l Afrique centrale