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Côte d’Ivoire : des milliers de jeunes formés à la culture de la paix avant la présidentielle

 

 

►►Au total 6.621 jeunes ont bénéficié d’une formation à la culture de la paix en Côte d’Ivoire, en amont de l’élection présidentielle prévue le 25 octobre.

ABIDJAN- Au total 6.621 jeunes ont bénéficié d’une formation à la culture de la paix en Côte d’Ivoire, en amont de l’élection présidentielle prévue le 25 octobre.

 

 

 

Initié par les ministères ivoiriens en charge de la Cohésion nationale et de la Promotion de la jeunesse depuis le 21 juillet dans 16 régions et les deux districts autonomes de la Côte d’Ivoire, le projet dénommé « Jeunes bénévoles pour la paix » s’est achevé mercredi, selon une note officielle.

Le projet a touché 6.621 jeunes volontaires qui ont bénéficié de sessions de formation articulées autour de l’éducation à la citoyenneté et au civisme, mais également autour des notions de base sur la cohésion sociale, la lutte contre les rumeurs et la désinformation.

Les sessions sanctionnées par des attestations de fin de formation ont en outre porté sur la prévention et la gestion pacifique des conflits, les techniques de causeries éducatives et la lutte contre les discours de haine.

« Le projet visait à impliquer les jeunes dans le renforcement de la cohésion sociale et de la paix avant, pendant et après les élections, mais aussi à leur permettre de relayer dans leur entourage ce qu’ils ont acquis de sorte à participer au développement de la paix sur le plan national », indique la directrice générale du Programme national de cohésion sociale (PNCS), Laurette Soro Mangoua.

Au terme de la formation, les bénéficiaires sont censés servir de relais dans leur environnement immédiat et mener des campagnes de sensibilisation en faveur de la consolidation de la paix entre les communautés, avant, pendant et après le processus électoral.

« La formation va me permettre de convaincre ma communauté que l’élection présidentielle n’est qu’un jeu et non la guerre », témoigne une jeune bénévole pour la paix dans la commune d’Abobo (nord d’Abidjan), Yéli Maïmouna Coulibaly.

En Côte d’Ivoire, depuis une vingtaine d’années, les élections présidentielles sont entachées de violences.

En 2020, au moins 55 personnes avaient été tuées et 282 autres blessées dans les violences qui ont marqué le scrutin présidentiel.

n charge de la Cohésion nationale et de la Promotion de la jeunesse depuis le 21 juillet dans 16 régions et les deux districts autonomes de la Côte d’Ivoire, le projet dénommé « Jeunes bénévoles pour la paix » s’est achevé mercredi, selon une note officielle.

Le projet a touché 6.621 jeunes volontaires qui ont bénéficié de sessions de formation articulées autour de l’éducation à la citoyenneté et au civisme, mais également autour des notions de base sur la cohésion sociale, la lutte contre les rumeurs et la désinformation.

 

 

 

Les sessions sanctionnées par des attestations de fin de formation ont en outre porté sur la prévention et la gestion pacifique des conflits, les techniques de causeries éducatives et la lutte contre les discours de haine.

« Le projet visait à impliquer les jeunes dans le renforcement de la cohésion sociale et de la paix avant, pendant et après les élections, mais aussi à leur permettre de relayer dans leur entourage ce qu’ils ont acquis de sorte à participer au développement de la paix sur le plan national », indique la directrice générale du Programme national de cohésion sociale (PNCS), Laurette Soro Mangoua.

Au terme de la formation, les bénéficiaires sont censés servir de relais dans leur environnement immédiat et mener des campagnes de sensibilisation en faveur de la consolidation de la paix entre les communautés, avant, pendant et après le processus électoral.

« La formation va me permettre de convaincre ma communauté que l’élection présidentielle n’est qu’un jeu et non la guerre », témoigne une jeune bénévole pour la paix dans la commune d’Abobo (nord d’Abidjan), Yéli Maïmouna Coulibaly.

En Côte d’Ivoire, depuis une vingtaine d’années, les élections présidentielles sont entachées de violences.

En 2020, au moins 55 personnes avaient été tuées et 282 autres blessées dans les violences qui ont marqué le scrutin présidentiel.

 

By Xinhua

 

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